Et sinon cet été qu’est-ce qui se passe ?

Donc là, hier pour moi c’était tellement la grosse fatigue que je me suis trainée comme une vieille crevette déshydratée…

Mais tous vos petits mots m’ont fait me souvenir que les vacances approchent et qu’il ne faut pas perdre la ligne d’arrivée de vue. Jamais ! Même en cas de méga-démotivation… Alors j’me suis forcée d’y penser.

Et du coup je me suis souvenue que mon programme de cet été est organisé au poil d’orteil près. Je crois que je ne reviens chez moi que durant 4 pauvres petits jours début août histoire de vérifier que mon appart n’ait pas été vandalisé/cambriolé/incendié/détruit par une météorite…

Dès la fin de l’école je file avec Nathalie, dans une périple entre filles qu’on aurait volontiers organisé en Pologne (histoire de boire, mais pas que…). Or les finances sont pires qu’apocalyptiques, du coup je doute que ce soit possible finalement… Quoi qu’il en soit nous partirons, même seulement à Melun s’il le faut !

Direct après je vais me soigner dans les Pyrénées… Une cure thermale à base de quelques litres de flotte dans chaque narine tous les matins, beaucoup de repos et une volonté d’avancer comme une damnée dans mes lectures pour arriver à honorer mon défi Goodreads de lire 100 livres durant cette année (car là j’en suis à « seulement » 22 alors ça commence un tout petit peu à sentir le roussi !)… Bon, le côté fun c’est que j’ai un amant là-bas, alors je vais aussi enfin pouvoir réutiliser mes organes génitaux !

Ensuite c’est la mini-semaine de battement. 4 jours pour être précise avant le départ pour mon road trip annuel.

Enfin j’embarque les 3/4 de mes réserves de bouffe, ma Queschua et mon meilleur pote et nous partons en baroudage direction St-Nazaire pour ensuite descendre jour après jour le long de la côte jusqu’à Bilbao… Deux semaines de route à la roots, sans rien prévoir (à part un festoche incontournable au milieu du chemin), suivant nos envies et avec 5€ par jour chacun… C’est un peu notre Pékin express personnel.

Tout cela nous amène donc à la dernière semaine d’août où je me débarrasse de mon pote et où je remonte en solo, avec ou sans détours, en une ou plusieurs fois, en fonction des finances, des envies, et en fonction de si j’ai un poste ou non à la rentrée… Logiquement j’avais un festival magique de prévu, et puis il a été annulé… Je vais p’tet lui chercher un remplaçant, ou alors juste un rassemblement communautaire, on verra !

Repasser tout ça dans ma tête me permet de me dire que j’ai hâte et que le(s) moment(s) approche(nt)… C’est ce dont j’avais besoin après cette difficile journée.

Et vous, en général, comment partez-vous ?