Et sinon cet été qu’est-ce qui se passe ?

Donc là, hier pour moi c’était tellement la grosse fatigue que je me suis trainée comme une vieille crevette déshydratée…

Mais tous vos petits mots m’ont fait me souvenir que les vacances approchent et qu’il ne faut pas perdre la ligne d’arrivée de vue. Jamais ! Même en cas de méga-démotivation… Alors j’me suis forcée d’y penser.

Comment sublimer une connasse d’année !

C’est l’heure du bilan, on le sait tous, on le fait tous, et je voulais aussi, histoire de fermer la porte pour de bon.

Parce que pour moi 2013 a été une sacré chiennasse, sans que je sache pourquoi le sort a un tout petit peu semblé s’acharner. Entre les deuils, la rupture, la dépression, les échecs et la solitude j’ai eu de quoi faire au niveau « grosses merdes« .

Hier j’ai commencé à bosser sur mon bilan de l’année, que j’imaginais vachement graphique. Mais au fur et à mesure que j’avançais je me suis rendue compte qu’il n’y avait aucune couleur, que c’était triste, noir, terne… Super déprimant en somme (et finalement ce n’était pas très étonnant).

Ce matin, en me réveillant, à 13 heures, j’ai lu le dernier kiwi de l’année de Grosse blonde paresseuse. Et là ça m’a juste sauté au visage : non ! Je ne vous servirai pas mon bilan dégueu, je vais chercher plus loin et j’vais vous donner que le bon, le bilan de ce qui a finalement compté positivement dans mon année, et même si ce ne sont que de petits détails, et même si ça me dévoile un peu plus que d’habitude : FUCK la déprime !

Alors voilà, c’était aussi ça 2013 :

Comme un lapin dans les phares d’une voiture.

Je suis avec Ralph depuis deux mois et des poussières. Nous nous sommes parlés sur le net et puis la rencontre réelle est arrivée de façon un peu improbable, loin de nos lieux de vie respectifs, dans une ambiance un peu particulière.

Il m’avait convaincu de venir dans un de ces festivals écologiques, un peu hippie, remplis de conférences sur l’avenir de la planète et de didgeridoos le soir au coin du feu sous les étoiles.

Je devais y passer deux jours, j’y suis restée dix.

Vieillir pendant un an entier !

Ben si, en vrai je suis revenue de vacances… J’vous jure !

Mais je vous ai encore délaissés, je l’avoue !

Y’a Chéri-Chéri qui me prend du temps (oui, « BZMan » devient « Chéri-Chéri »), y’a eu la rentrée avec son cortège de gamins paumés, y’a l’appart qui ne se nettoie pas tout seul, la cuisine qui ne se fait pas toute seule et plein d’autres machins qui ne se règlent pas sans mon intervention (du genre factures, rendez-vous à prendre, rendez-vous à honorer, j’en passe et des meilleures…)

Mais là, c’est décidé, je me mets un coup de pied dans le cul (souple n’est-ce pas ?) et je me décide à revenir vers vous pour de vrai !

J’ai changé mon statut FB

Ben ouais… Voilà… A force de me
plaindre, ce qui devait arriver arriva : Agoaye a trouvé un boyfriend. Youhoooooouuuuu !

Là, logiquement, les plus fidèles d’entre vous sont totalement super scotché(e)s à l’écran et se demandent de comment que quoi pourquoi c’est possible c’t’histoire ?

« J’ai beau être matinal, j’ai mal ! »

Allez, on se diversifie dans le monde merveilleux de l’Agoaye… Après « je suis surbookée« , après « je ne baise plus jamais« , après « j’suis si déprimée que j’ai pas envie de partir en vacances« , voici maintenant le : « Je souffre 24h/24 » !!!

Les marques de maillot.

Aujourd’hui c’est décidé, j’écris un article d’actualité !

Ben si, mine de rien c’est l’été et logiquement il faut chaud et beau. Alors qu’il pleuve, qu’il vente et que je commence à attraper une pneumonie ne m’empêchera pas de vous parler de soleil, sable, mer et maillots de bain !

Sauf que… je ne vous parlerai pas du maillot en lui-même, mais plutôt de l’absence de maillot !!!

Fétichisme capillaire.

C’est indécent, inavouable et irrépressible. Mais comme je suis ici pour me livrer tout entière, je me jette à l’eau et vous l’avoue :

Oui j’ai une déviance, oui je suis obsédée et oui je voue une admiration sans bornes à un certain détail masculin : la longueur des  cheveux !

Agoaye’s french road trip.

Allez, je le sens que vous avez besoin de prendre le large… Vous avez besoin de pouvoir prendre cette grande inspiration, ce grand soupir sans tous ces gens autour qui vous désapprouvent parce que quand même respirer silencieusement c’est pas compliqué non mais oh !

Moi aussi j’en avais besoin l’été dernier… J’avais passé l’année à bosser comme une folle pour ma titularisation de prof des écoles, j’avais passé 3 semaines pourrites (au niveau météo) dans les Pyrénées (7°c en été, t’y crois toi ?) à faire des lavages de nez tous les matins pendant 3 heures (cures thermales que ça s’appelle) avec Môm (avec laquelle je vis aussi au quotidien, je précise)…

Donc là c’était juste vital : prendre le large !

Et c’est ainsi que je suis partie, avec ma tente, ma voiture, mes billets de festival, mes boîtes de conserve et mon réchaud !

Un pogo ? Non, Pogo !

Aujourd’hui, je cours un peu, non, pas comme MissBavarde qui prépare un marathon de folie (d’ailleurs je crois que c’est ça en fait : elle est folle… Mais chuuuuut !!), non je cours parce que j’avais un choix à faire : sport ou article, étant donné que je sors faire la folle à Paris avec ma coupine Julie.

Comme je suis une fille bien et que je ne voulais pas vous laisser sans nouvelles de moi, j’ai voulu vous partager un petit lien vidéo sur Hellocoton, mais manifestement j’étais la seule à vouloir, d’un coup d’un seul ça a été Tchernobyl dans mon Firefox, tout s’est bloqué, ce fut terrible !

Alors comme je suis une nana exigeante, je me suis résignée à finalement faire les deux : un petit article ET 30mn de sport.